COMFluid© s’adresse aux particuliers qui souhaitent utiliser des techniques physiques et verbales fluides pour gérer plus facilement leurs conflits et/ou se formuler positivement dans la sphère :
COMFluid©
vous permet de vous énoncer avec fluidité, efficacité et humour.
Concrètement, vous racontez vos difficultés à vous exprimer ou à faire passer un message et vous bénéficiez :
COMFluid©
vous propose des messages physiques, oraux et/ou écrits concrets et adaptés au cas par cas, que vous pouvez adresser directement aux personnes concernées.
Le Centre Sweetch est pluraliste et à la pointe en matière de communication, de gestion des conflits et des émotions. Les techniques proposées sont éprouvées par les spécialistes en communication
et inspirées de multiples écoles en Psychologie et en Communication : Communication NonViolente, Neurosciences, Analyse Transactionnelle, Programmation NeuroLinguistique,
Psychologie du Développement, Systémique, Méthodes Gordon, Assertivité, Yoga …
Séance individuelle (60€ TVAC) :
COMFluid©
rédige aussi des messages écrits, soit sur base de vos explications, soit sur base d'échanges avec l’autre (mails, courriers, textos, photos…) : 90€ TVAC/h, sur devis.
Séance collective à l’agenda Sweetch ou à la demande (équipe ou groupe constitué), pour 3 à 8 personnes (30€ TVAC/personne) :
Lors des séances en groupe, l’intelligence collective s’ajoute à l’expertise COMFluid© : témoignage de vécus identiques, partage de stratégies de réponse variées, échanges à propos d’expériences concrètes couronnées de succès.
Depuis 15 ans, Arnaud gère son entreprise, composée de 10 employés. Son bras droit Isabelle se moque de lui dès qu’il donne une tâche à accomplir à l’un des membres
de son équipe. Insupporté par sa moquerie, Arnaud lui rentre dedans et les employés assistent systématiquement à une escalade symétrique.
Arnaud prend Isabelle à part pour lui expliquer ce qui lui pose problème dans leurs interactions houleuses. Il prend aussi le temps de poser des questions qu’il ne
lui a jamais posées, ce qui permet de comprendre : l’enjeu d’Isabelle d’être concertée pour les décisions organisationnelles ; sa difficulté face à des formulations à l’impératif (« Faites ça !
») ; la pression qu’Isabelle se met elle-même au quotidien et qui est exacerbée par les ordres de son patron.
Cette mise au point apaise la tension permanente qui se vivait dans l’entreprise, Arnaud et Isabelle ayant décidé : qu’Arnaud consultera Isabelle pour certaines
décisions définies (horaires, congés, répartition des tâches de la semaine…) ; qu’il mettra les formes pour demander l’exécution des tâches quotidiennes ; et qu’Isabelle lui parlerait en privé de
ses difficultés éventuelles en cas de désaccord, notamment pour gérer la pression qu’elle se met et qu’elle a l’impression qu’Arnaud lui met.
Mathieu et Zoé se disputent systématiquement, car Zoé estime qu’il ne prend pas assez en charge le quotidien, tandis que Mathieu trouve que Zoé se prend pour sa
mère avec des exigences et des critiques incessantes. Mathieu vit en mode « on verra », alors que Zoé est obsédée par le « tout tout de suite ! ».
Après avoir cerné le mode d’emploi de chacun, Zoé décide de prendre les mesures suivantes : elle lui laisse certaines tâches à accomplir en fermant les yeux sur le
fait que ce n’est pas fait dans l’instant ; elle ne prend plus en charge ce qui concerne uniquement Mathieu (ses prises de rendez-vous médicaux, le linge qu’il ne met pas dans le bac à linge
sale, l’invitation des amis d’enfance de Mathieu…) ; elle sort un soir par semaine avec ses copines et le laisse se débrouiller avec le souper et les enfants ; elle prend une femme de ménage une
semaine sur deux ; elle coupe court au « on verra » en lui demandant de faire des courses au moment où il est disponible et PAS plus tard (« tu pourras faire des courses demain ? ») ; elle le
critique le moins possible et lui montre son plaisir de voir ce qu’il réalise sans qu’elle le lui demande.
Kelly se triture les méninges depuis des mois pour expliquer les formations qu’elle propose. Elle a trouvé le nom CommuniCare, mais ne parvient pas à
structurer son offre d’intervention, car elle fonctionne au feeling et se vend généralement grâce à la qualité de ses contacts et au bouche à oreille.
Lors d'un entretien COMFluid©, Kelly raconte ce qui la motive, la passionne dans son métier. Elle évoque les publics qu’elle
vise, ses valeurs fondamentales, les résultats qu’elle obtient avec ses clients… Ce qui me permet de rédiger une synthèse structurée de ses services, avec :
Olivier, l’ex-mari de Fanny, la harcèle de messages pour obtenir de l’argent supplémentaire pour leurs enfants, alors que la convention qu’ils ont signée au moment
du divorce rend les exigences d’Olivier illégitimes. Il utilise des arguments fallacieux, fait des démonstrations chiffrées scabreuses, a recours au chantage affectif (« Tu m’as abandonné, je
suis seul à cause de toi ! »)… Fanny est déboussolée et confuse face à cette manipulation. Elle éprouve de grandes difficultés à contre-argumenter, même si elle estime être dans son
droit.
Ce qui permet de stopper ce jeu de pouvoir avec son ex est que Fanny : clarifie ses enjeux, explicite par écrit ce dont elle est responsable (le respect de la
convention, le bien-être des enfants) et ce dont elle n’était pas responsable (la gestion financière, quotidienne et amoureuse de son ex) ; fait appel à des éléments tiers pour sortir du face à
face (ses enfants déjà adultes, la convention, la loi…) ; contre les faux arguments ; formule ses messages avec détermination, et PAS comme auparavant au conditionnel (« on pourrait … »), avec
des demandes d’autorisation (ex. « si tu veux bien » ; « serais-tu d’accord », « ce serait chouette si tu … »), des demandes d’approbation (ex. « tu comprends ? » « ça te va ? », « tu es OK ? »),
du doute et de la confusion à travers des mots tels que « peut-être », « à voir … », « je sais pas trop si … ».
Solange vit avec son amie Félicia qui choisit systématiquement des compagnons infidèles et méprisants. Après une nouvelle rupture liée à la tromperie de son
amoureux, Félicia se laisse aller en plaintes, en pleurs, en crises liées à l’abus d’alcool, se mettant en danger et se laissant sauver par Solange. Félicia finit par agresser Solange, en lui
disant qu’elle ne la comprend pas, qu’elle n’est pas là pour elle, ou simplement en lui lançant des piques quotidiennes.
Le jeu de pouvoir cesse lorsque Solange décide de ne plus se mêler des affaires de Félicia, de ne plus la sermonner ni la conseiller. Solange utilise un coffre-fort
de phrases-clés pour riposter en cas de critique, et pour prendre soin de Félicia, sans pour autant plonger dans son drame. Félicia trouve alors des ressources pour sortir de sa posture
victimaire enragée. Et leur relation d’amitié retrouve un équilibre.
Une secrétaire (Manon) se décourage à propos de sa directrice (Anne) qui a pourtant accepté de lui déléguer davantage de travail : « C’est chouette qu’on en ait
parlé, elle fait des efforts. Mais je vois bien que ça dure quelques jours. Et puis elle recommence à tout faire toute seule et à me demander de faire des trucs qui vont super vite et qui ne
remplissent pas mon temps de travail ! Résultat : je m’ennuie encore au boulot ! »
Pour Manon comme pour chacun de nous dans pareille situation, la patience est de rigueur. Car sa directrice a besoin de contrôler depuis plus de 50 ans ! Et
personne ne lui ôtera totalement sa peur de perdre la maîtrise !
Pour permettre à Anne de « garder le contrôle », Manon cesse de demander à sa directrice si elle peut l’aider. Dans l’inconscient d’Anne, il est interdit d’être
aidée. Elle est d’ailleurs allergique aux gens qui appellent au secours.
Sa secrétaire propose à Anne de réaliser des tâches qu’elle est capable d’effectuer, en lui disant que ça lui fait plaisir à elle. Ce faisant, Manon nomme son désir
au lieu de faire mine d’aider une directrice qui ne supporte pas cette idée.
Manon prend aussi des initiatives en accomplissant des tâches, puis en informant Anne qu’elles sont effectuées. Manon répète régulièrement son besoin de recevoir
suffisamment de travail stimulant pour rester motivée au travail. Et elle manifeste sa gratitude quand Anne y consent. Le temps et la persévérance permettent à ces deux femmes de collaborer avec
plus de fluidité.
Si la directrice lâche un peu de contrôle, c’est aussi parce que sa secrétaire décide d’en prendre davantage. Chacune se laisse challenger par l’autre au lieu de
s’enliser dans ses mécanismes de défense.
Sur contact@centre-sweetch.com, envoyez-moi en quelques lignes un message que vous ne parvenez pas à faire passer en expliquant : à qui il s'adresse ; ce que vous voudriez dire et pourquoi ; éventuellement ce que vous avez déjà dit ou fait pour tenter de le faire passer.
Sur le groupe Les Sweetcheurs sur Facebook, je publie régulièrement des récits courts anonymes et la communauté des Sweetcheurs propose différentes manières de répondre, de réagir dans la situation.
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