Si on vous dit : « Oui, mais toi tout va bien dans ta vie. Tu peux pas comprendre et tu ne peux rien faire pour moi … »
Vous pouvez clarifier :
- Ah bon ? : « Ah bon, je peux pas comprendre ? »
- Pourquoi ? : « Pourquoi tu me dis ça ? »
Ou vous allez dans le même sens :
- Merci : « Eh ben, merci de me dire que tu ne te sens pas comprise par moi. Je ne me rendais pas compte … »
- Aussi : « Aussi … » (clin d’œil et léger sourire)
- Vous pouvez aussi stimuler l’empathie grâce au Miroir : « Tu dois vraiment être mal pour me dire que je te comprends pas et que je peux rien faire pour toi … »
Si on vous dit : « T’es tout le temps sur mon dos pour me surveiller ! C’est pas de ma faute si j’oublie tout ! Tu te prends pour ma mère ? »
Vous pouvez contre-attaquer :
- Oupas : « Ou pas … »
- Savadallé : « Ça a l’air affreux de vivre avec moi : tu vas assumer tes oublis désormais, j’en suis ravi ! »
Ou vous faites diversion avec le Ni oui ni non : « C’est possible oui, parfois … Je sais pas. On en reparle ce soir ? »
Vous pouvez aussi stopper le jeu de pouvoir agressif :
- Un point c’est tout : « Non, pas d’accord. » (peu de mots, pas d’argument)
- Disque rayé (de moins en moins de mots, de plus en plus calme) : « Non, je ne suis pas OK que tu me laisses tout assumer, puis que tu t’en plaignes. » ; « Non, je refuse. » ; « Je refuse. » ; « Non. » (signe de tête final avant « Bon, là je m’en vais parce que tu n’acceptes pas ma limite. »)
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